Et oui, c’est Halloween! et comme chaque année les boutiques et magasins regorgent d’idées pour nous faire frémir, faire la fête, et, surtout, acheter une tonne de décorations et bonbons. Mais cette bonne vieille fête (qui découle de la tradition celte de la fête de Samhain, dieu des morts) est pour une fois l’occasion de parler du folklore écossais et des légendes, de fantômes bien sur, de distilleries.
Glenrothes et Byeway
Recueilli dans son Zimbabwe natal par le major James Grant, propriétaire à l’époque de la distillerie, Byeway devint rapidement son majordome une fois rentré au Royaume Uni. C’est en 1972 qu’il s’éteint, plus de 40 ans après le major Grant. Cependant en 1979 de nombreux employés de la distillerie commencèrent à apercevoir une silhouette sombre, à la peau noire et à la barbe blanche se balader dans les chais puis disparaitre sans laisser de traces. La légende veut que Byeway, qui travailla et vécu à la distillerie, fut dérangé dans son repos lors du changement des alambics et hanta la distillerie pour se venger.
Jura et ses histoires
A Jura ce ne sont pas une mais bien deux histoires de fantômes que l’on se transmet. Le premier fut celui qui hanta Laird Archibald, lui reprochant d’avoir laissé volontairement se développer de la contrebande d’alcool sur son territoire. Il entreprit ensuite la construction de la première distillerie sur Jura en 1810 afin de calmer l’esprit. La légende veut que la première bouteille sortie de la distillerie soit toujours enterrée sur l’ile pour lui rappeler de rester tranquille.
L’autre histoire est plus proche de nous, et pas forcement rassurante, même si la fantôme n’a pas l’air très énervé. Elvis, chasseur de souris en chef de la distillerie, fut utilisé à des fins marketing en portant un petite caméra permettant de prendre des images de la distillerie sous un autre angle. Cependant lors d’une de ses balades dans les chais, la camera prit un cliché où l’on pouvait clairement voir une silhouette humaine translucide, et feminine. Cependant aucun incident n’a été à déplorer, même si les brand ambassadors qui séjournent à la distillerie de temps à autre racontent tous avoir entendu une voix de femme dans la nuit.
Glendronach et son fantôme espagnol
Notre dernière histoire nous emmène chez Glendronach. Dans les années 70, lors du débarquement de fûts d’Oloroso en provenance de Jerez, un fantôme, celui d’une femme portant des habits de danseuse de flamenco, se serait échappé d’un des butts après avoir traversé l’Atlantique. Elle serait toujours à roder autour de la distillerie, en particulier près de la salle de dégustation de la distillerie, où elle se réfugierait pour échapper au froid écossais.
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